On aurait pu commencer à vous expliquer comment bien visiter une des 7 merveilles du monde, mais il y a assez de sites qui le font très bien. Enfin plus ou moins car les réglementations peuvent changer, comme se fut le cas ce printemps et c’est pas toujours très clair.
Le soir avant de prendre le colectivo (bus local) direction ollantaytambo, nous avons rencontré un demi-compatriote mexicano-suisse. Il nous explique comment c’est devenu une usine à fric et comment on va être conditionné. Les trucs et astuces en mains, c’est confiant qu’on planifie notre journée.

Les sacs faits, on va chercher la station de bus.
« Ollanta ollanta ! «
Le principe est simple, dès que le bus est plein : on décolle. 1h30 plus tard, nous voilà à Ollantaytambo.
N’ayant pas le droit de prendre nos « maisons » avec nous dans le train, on dépose les sacs au homestay réservé pour notre retour. Un slip, une gomme et nos appareils photos : c’est avec un paquetage léger qu’on file attendre le train.

C’est très organisé, un peu trop même. 2 check-in, 3 montrage de passport et carte de crédit utilisée pour la réservation, un salle d’attente tout confort pour parquer les cars de touristes.
Il se met à bien pleuvoir. On attend sagement comme des bons suisses, car on nous a dit « Stay here »
Pour finir on file et on fini dans un bouiboui, l’ambiance est plus naturelle. Le train siffle, c’est l’heure d’y aller !

Les paysages sont pas à couper le souffle, mais on s’enfonce de plus en plus au fond d’une vallée étroite longtemps une rivière, mais dans quel endroit « paumé » ils sont aller le construire ce Matchu Pichu?
L’arrivée à Aguas Calientes se fait presque à l’heure. C’est une ville artificielle créée pour correspondre aux horaires du matchu pitchu. Heureusement pour nous notre guesthouse est un peu à l’écart de ce bouillon touristique et on passera un bonne nuit avant le grand jour !

